Nicolas LECOQ

91 avenue Alphonse Denis

83400 HYERES

06.63.64.90.50.

nicolecoq@voilà.fr

 

ECOLE SUPERIEURE DES BEAUX-ARTS DE MARSEILLE

 

DNSEP, option Art, avec mention, session 2000.

 

DNAP, option Art, session 1998.

 

EXPOSITIONS PERSONNELLES

 

2005 : UTPM, café-galerie - Marseille -

 

2004 : lors du festival « Jazz in Marciac » avec l’association Lez’Arts Nomades - Marciac -

 

2004 : la Galerie, Complexe Gérard Philipe - La Garde -

 

2002 : Université de Provence, exposition accompagnée de créations sonores 

 d’Axel Brizard - Aubagne –

 

EXPOSITIONS COLLECTIVES

 

2006 : « 10 x 2 », association Elstir, - La Garde –

 

2005 : 22em RDV des jeunes Plasticiens, Elstir - La Garde –

 

2003 : «  L’Art dans l’Air(e) », association Elstir, Fort Napoléon - La Seine s/mer -

 

2002 : Lauréats et Nominés du RDV des Jeunes Plasticiens, Elstir, Centre 

 d’Art Sébastien - St Cyr s/mer -

 

2002 : 19em RDV des Jeunes Plasticiens, Elstir - La Garde -

 Lauréat du Prix Louise Baron

 

2002 et 2001 : le Capitol, association l’Appartement - Arles –

 

2000 : « De Marseille, de Strasbourg », Galerie de l’Ecole Supérieure des Arts Décoratifs de 

 Strasbourg - Strasbourg –

 

  

GALERIES

 

Artothèque Art Tisse, Valbonne, www.art-tisse.com

 

Galerie Regard, Vence

 

BIBLIOGRAPHIE

 

« De Marseille, de Strasbourg » 2001, ESBAM – ESADS & « tous des k »

« 10 x 2 » 2006, ELSTIR & Hemisud

 

 

 

« Au ciel, de gigantesques nuages d’atomes s’effondrent sur eux-mêmes sous l’effet de leurs poids, pour former des étoiles éphémères. Celles-ci exploseront en supernovae, dispersant leurs particules, redistribuant, semant les grains de ce qui constituera nos êtres et autorisera nos pensées.

Contractions, stabilisations, ruptures, dilatations. Au cœur du principe cosmique comme dans notre propre souffle, et jusque dans notre dimension cognitive, de fabuleux vortex d’énergies gonflent puis se compriment dans une invariance d’échelle implacable.

 

Ici, des lignes de couleurs pures, denses, traversent des espaces vides, rencontrent des nuées chromatiques en expansions. Des lettres, des chiffres tentent parfois de donner du sens mais ne rajoutent qu’à la turbulence.

On y reconnaît les influences d’artistes tels que Marc Rothko, Sam Francis, ou Zao Wou Ki

 

 Les travaux de Nicolas Lecoq sont axés sur le questionnement d’une tension, d’une respiration: entre 0 et 1, entre la finitude et l’infinitude, entre le vide neutre et le plein revendicatif, entre nous et le reste de l’univers. Vraiment, nous vibrons d’un état à un autre, et nos frontières ne sont qu’arborescences, circonvolutions et aspérités infiniment complexes.

 

 L’énergie, la neutralité, la fragilité, des intérêts pour les croyances traditionnelles holistes et l’imagerie scientifique sont autant de trajectoires pouvant définir la cosmogonie dans laquelle évolue notre plasticien, et la charge spirituelle inhérente à ses travaux.

 

Toutefois, en voulant éviter l’illustration d’une pensée dans son travail, son idéal naïf serait d’en extraire toute intellectualisation et savoir proposer des œuvres d’une évidence contemplative. »

 

Hugo Alter